Casares es un pueblito de 5000 almas ubicado en el departamento de Carazo al Oceano pacifico a unos 50 km de Jinotepe. Alla, estamos muy lejos de la vida urbana. La eletricidad llego hace poco, la carretera esta en construccion y el agua llegara al pueblo en enero. La unica actividad del pueblo es la pesca artisanal. me intereso entonces a esta actividad que permite al pueblo de sobrevivir.
Il y a 40 ans, le village ne comptait que 9 maisons. On pêchait avec des barques en bois. Il n'y avait pas de moteur, mais des rames. On pêchait à la ligne. Cela fait 30 ans qu'on a découvert que la langouste pouvait se manger. Avant, on la trouvait sur la plage. C'est quand on prit conscience du potentiel de la mer que le village s'est davantage développé. Les gens qui luttaient pour survivre à la ville sont venus s'installer ici et ont appris à pêcher. Aujourd'hui, la concurrence est plus rude, l'essence est chère et il faut aller toujours plus loin pour trouver le poisson. Etant donné que les pêcheurs sont plus nombreux, chacun pêche moins de poisson et a donc plus de mal à gagner son pain. Depuis le tsunami qui a eu lieu il y a 16 ans, le gouvernement a donné aux pêcheurs des barques en fibre de verre qui sont maintenant équipées de moteurs à essence. On pêche maintenant avec des filets, à la ligne ou on utilise des compresseurs pour faire de la plonger (ce qui ruine les poumons des pêcheurs). On compte maintenant sur un projet touristique pour développer le village, car aujourd'hui, quand il n'y a pas de poisson, personne ne travaille et personne ne mange non plus. Mais on craint aussi que le touriste ait peur de venir à cause du risque de tsunami. Il y a un an et demi, un groupe appelé "Gabinete del Poder Ciudadano" (Cabinet de Pouvoir Citoyen) a été mis en place. On espère ainsi avoir plus d'autonomie, car il n'y a pas de mairie et le village dépend de Diriamba. A cause de la grande corruption, les habitants de Casares voient peu de développement dans leur village. On espère voir la création d'une mairie, ainsi que la construction d'une école secondaire, d'un cimetière, d'une décharge publique (aujourd'hui, on jette la poubelle par terre et de temps en temps, on la brûle sur la plage ou dans un champ) et que l'infrastructure du village soit améliorée.
Hace 40 años, el pueblo contaba unas 9 casas. Se pescaba con lanchas de madera. No había motor, pero renos de madera. Solo pescaban con suelo. Hace 30 años que descubrieron que se puede comer la langosta. Antes, se encontraba en la playa. Cuando la gente tomó consciencia del potencial del mar empezó el pueblito a desarrollarse más. La gente que luchaba para sobrevivir en la ciudad vino aquí y aprendí a pescar. Hoy, hay más competencia, la gasolina es más cara y hay que ir siempre más lejos para encontrar peces. Como que hay más pescadores, uno pesca menos que antes y batalla más para ganar su dinero. Desde el maremoto que ocurrió hace 16 años, el gobierno regalo pangas en fibras de vidrio que son ahora equipadas de motores a gasolina. Ahora se pesca con redes. Se utilizan compresores par bucear (lo que daña mucho los pulmones de los pescadores). Ahora, espera la gente que un proyecto turístico funcionará para desarrollar el pueblo, porque hoy, cuando no hay pez, no se trabaja y nadie come. Se teme también que el turista venga tan fácilmente por el riesgo de terremoto. Hace un año y medio se fundió un grupo llamado “Gabinete del Poder Ciudadano”. Se espera más autonomía porque ahora el pueblo depende del alcalde de Diriamba. Por la gran corrupción, los habitantes no aprovechan de mucho desarrollo en el pueblo. Se espera la creación de una acaldaría, y también la construcción de una escuela segundaria, un cementerio, un basurero (hoy la basura se tira donde quiera y a veces se quema en la playa o en un campo) y que la infraestructura del pueblo sea mejorada.
Les pêcheurs partent en mer en général autour de 16h pour revenir le lendemain matin entre 6 et 10h. Ils sont cinqu par bateau: le capitaine et quatre marins. Différentes techniques sont utilisées pour les différents poissons: filets aux mailles différentes, on utilise parfois des bombes pour tuer les petits poissons et faire venir les gros, canne à pêche, plongée sous-marine... Il y a aussi des départs le matin de bonne heure vers 4h et les pêcheurs reviennent vers 10h. Le port est à même la plage. On emmène les bateaux à la mer en les faisant rouler sur des troncs d'arbre. Mais avant, on apporte le moteur sur une petite charette, on l'installe, on prépare les filets. Il y a une activité impressionnante sur cette plage. Les photos qui suivent ont été prises un après-midi lors du départ d'un nombre important de barques.
Los pescadores se van al mar en general al rededor de las 4:00 pm para regresar la manana del dia siguiente entre las 6 y las 10:00 pm. Hay cinco personas en una lancha: el capitan y cuatro marinos. Hay varias te'cnicas para pescar los diferentes peces: redes de tamanos diferentes, a veces se utiliza la bomba para matar a los peces chiquitos y que los grandes vengan, el suelo, el buceo... Hay tambien pangas que se van a las 4 am para regresar a las 10 am. El puerto es la playa. Se llevan las pangas rolandolas con troncos de arboles. Pero antes, hay que preparar todo, las redes, traer el motor con una carreta e instalarlo. Hay una actividad impresionante en esta playa. Las fotos que siguen fueron hechas una tarde cuando se fueron un numero importante de lanchas.
Il était évident que je devais monter une fois dans une barque pour voir comment se passe la pêche. Je suis donc parti un matin à 4h30 avec Pedro pour aller pêcher. Avant de monter dans le bateau, je me demandais si j'étais bien raisonnable. Mais nous sommes parti, les vagues n'étaient pas trop grosses et nous avons fait environ 3/4 d'heure de bateau pour arriver au premier filet. Les marins tirent le filet et parfois sortent un poisson, des pierres, des petits corraux. Nous avons retiré les 5 filets et la pêche a été mauvaise: 4 gros poissons rouges et une raie. Nous sommes allés replacer les filets un peu plus loin et nous sommes rentrés au port.
Fue evidente que tenia que subirme una vez en una lancha para conocer mejor la pesca. Entonces me fui una mananita a las 4:30 am con Pedro par ir a pescar. Antes de subir, me pregunté si estaba bien razonable. Pero pues nos fuimos, las olas no estaban tan grandes y hemos necesitado unos 45 minutos para llegar a la primera red. Los marinos jalan la red y a veces sacan un pez, o piedras, o corail chiquito. Despues de jalar las 5 redes, nos fuimos a ponerlas en otro lugar. La pesca fue mala: 4 peces grandes y una raya.
En tirant sur le filet, on récupère de tout
Jalando la red, sacamos de todo
On remet le filet un peu plus loin pour la pêche du lendemain
Avant de rentrer au port, on vide les poissons
Antes de llegar al puerto, se quita la tripa de los peces
A l'arrivée, les badeaux sont nombreux à observer les poissons pêchés
Cuando llega una lancha, muchos vienen a ver cual peces fueron pescados
Une arrivée le matin à l'aube
Llegada al amanecer
On rentre le matériel...
Hay que llevar el material a la casa...
Il faut ensuite monter le poisson en haut de la plage pour le peser et le vendre
On pèse le poisson sous des abris de tôle en haut de la plage
Se pesa el pez arriba de la playa abajo de casitas sencillas
Les acheteurs peuvent être des particulier ou des entreprises qui envoient le poisson à Managua pour l'exporter
Los clientes pueden ser particulares o empresas que mandan el pez a Managua para exportarlo
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