L’anniversaire a été une grosse fête. La tante, qui a épousé un riche américain, a prêté sa maison de vacances en bordure de mer. On a loué une grande sono, un DJ, un barman et des Mariachis sont venus chanter quand les bougies du grand et beau gâteau ont été soufflées. La tenue correcte exigée était en blanc. Dans ce petit monde à part, on aime parler américain. La plupart sont scolarisés au « meilleur campus d’Amérique Centrale, c'est-à-dire une université américaine à 15 000 dollars le semestre et ont une grande influence politique de cet Eldorado. J’ai l’impression qu’on aime faire son show pour montrer une certaine image.
Cette jeunesse cependant est consciente du monde qui l’entoure, elle a une vision de l’avenir, de l’ambition. Espérons que ces futurs leaders dirigeront le monde comme il se doit et qu’ils ne soient pas trop influencés par le moule américain néolibéral qui pour moi va droit dans le mur si rien n’est changé rapidement.
Para mi último artículo sobre Nicaragua, voy a platicar de otra juventud, la juventud privilegiada de Nicaragua. El primer fin que llegué, me fui a la fiesta de cumpleaño de una chavala llamada Andreina, que cumplía 21 años. De cierta manera, eso fue un choque para mí de encontrar así la juventud elite de un país muy pobre después de convivir durante todo mi viaje con jóvenes de barrios.
La fiesta fue grande. La tía, que se caso con un norteamericano muy rico, presto su casa secundar a la orilla del mar. Se rentaron parlantes grandes para la música, un DJ, un barman y varios mariachis vinieron cantar cuando se soplaron las velas del pastel grande. El vestido exigido fue de blanco. En este mundito a parte, le gusta hablar inglés. La mayoría son estudiantes en el mejor campus de Centroamérica, es decir una universidad norteamericana a 15000 dólares per semestre y también tienen una influencia política grande de parte de este Eldorado. Creo que le gusta mostrar una cierta imagen con su aparencia.
Esta juventud es consciente del mundo en lo cual vive, tiene una visión del porvenir y ambición. Esperamos que estos futuros líderes manejaran el mundo como se debe y que no sea demasiado influenciados por este modele americano neoliberal que por mí, ya no puede seguir así mas.
Me dicen Andre. Tengo 21 años. Mi papa es francés y mi mama es nicaragüense. Nací en Miami, Florida y desde corta edad viajamos entre los Estados Unidos e Europa. Vivimos en Diriamba, Nicaragua, desde varios años. Soy de clase media alta. Estudio relaciones internacionales en la Ave María University Latinamerican Campus en San Marcos, a unos 7 km de Diriamba. En mi tiempo libre, me encanta pasar tiempo con mis amigos, pero de igual manera, me encanta el tiempo para mí misma. Me encanta ir a la playa, montar a caballo. En 10 años, me imagino trabajar probablemente en una ONG o para la Unión Europea.
La vida en Diriamba me parece muy sencilla. La gente de aquí tiene una vida muy individual. Tratan de sobresalir por ellos mismos. Pero aparte de eso, es un pueblo muy sano con muy poca delincuencia.Mi país me parece tener mucho potencial, pero es muy dependiente de la ayuda extranjera y tiene muy poca actitud de superación. Creo que probablemente iré a otro país hacer mi maestría, pero creo que cuando uno quiere a su país, siempre se termina regresando. El calor humano que existe aquí no existe en cualquier parte del mundo.
La juventud de Nicaragua se diferencia entre la educación que tiene. Mis amigos los considero con mucha conciencia del mundo exterior. El típico nicaragüense se basa en su vida diaria y de lo que pasa en Nicaragua, pero no de lo que pasa en el resto del mundo.
On m’appelle Andre. J’ai 21 ans. Mon père est français et ma mère est nicaraguayenne. Je suis née à Miami en Floride et depuis toute petite nous voyageons entre les Etats-Unis et l’Europe. Nous habitons à Diriamba au Nicaragua depuis plusieurs années. Je suis de classe moyenne supérieure. Je fais des études de relations internationales à l’University Latinamerican Campus de San Marcos à 7 km de Diriamba. Pendant mon temps libre, j’adore passer du temps avec mes amis, mais j’aime aussi passer du temps pour moi-même. J’adore aller à la plage, monter à cheval. Dans 10 ans, je m’imagine travailler probablement dans une ONG ou pour l’Union Européenne. La vie à Diriamba me paraît assez simple. Les gens d’ici ont une vie très individualiste. Ils essaient de s’en sortir pour eux-mêmes. Mais à part cela, c’est un peuple très sain avec très peu de délinquance.
Je pense que mon pays a un potentiel très important, mais il est très dépendant de l’aide internationale et n’a que peu d’initiatives propres pour se développer. Je pense que j’irai probablement faire mon master dans un autre pays, mais je crois que quand quelqu’un aime son pays, il termine toujours par y revenir. La chaleur humaine qui est présente ici n’existe pas n’importe où dans le monde.
La jeunesse nicaraguayenne est très différente selon son niveau d’éducation. Je considère mes amis très conscients du monde extérieur. Le nicaraguayen typique se base sur sa vie quotidienne et de ce qui se passe au Nicaragua, mais pas de ce qui peu se passer dans le reste du monde.
1 commentaire:
De trés belles photos et des articles qui en disent beaucoup plus que ce que les médias . Merci pour ce voyage.
Yefferson Perez
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